Plaquettes Forestière
Suite à la tempête de 1999, afin d'évacuer le plus de bois possible des forêts, nous avons investi en 2003 dans un tracteur agricole avec un broyeur (d'une capacité d'absorption de 60cm de largeur et 45cm de hauteur, et d'une production de 40 map/heure), pour approvisionner les chaufferies individuelles et collectives en plaquettes de bois. Nous nous sommes également équipés en 2008 d'un camion Renault Premium 6x4 avec ampirol, pour des caissons à plaquettes d'une contenance de 20 m³.
Nous produisons environ 1500 Tonnes de plaquettes de bois par an. Nos plaquettes ont un taux d'humidité de moins de 20%.
Les plaquettes de bois sont produites par déchiquetage de bois entiers ayant une faible valeur marchande, issus de l'entretien de la forêt et des sous-produits de l'industrie du bois (scieries, usines de panneaux bois, etc...), d'où l'appellation courante de " bois déchiqueté ".
Tout comme le biogaz et les biocarburants, la filière bois-énergie, avec notamment les plaquettes de bois, appartient aux énergies renouvelables basées sur l'utilisation de la biomasse.
La valorisation de la filière bois, représente de véritables enjeux pour le développement durable :
- Moins de gaz à effet de serre
- Èconomies financières (le prix des plaquettes est moins élevé que le prix du bois bûche)
- Création d'emplois
Pour tout renseignement, contacter Xavier NOLLET au 06.88.21.37.99
Définition d'un cours d'eau
(extraits de la circulaire du Ministère de l'Ecologie en date du 02/03/2005) : " la qualification de cours d'eau donnée par la jurisprudence repose essentiellement sur les deux critères suivants :
- la présence et la permanence d'un lit naturel à l'origine, distinguant ainsi un cours d'eau d'un canal ou d'un fossé creusé par la main de l'homme mais incluant dans la définition un cours d'eau naturel à l'origine mais rendu artificiel par la suite, sous réserve d'en apporter la preuve - ce qui n'est pas forcément aisé ;
- la permanence d'un débit suffisant une majeure partie de l'année apprécié au cas par cas par le juge en fonction des données climatiques et hydrologiques locales et à partir de présomptions au nombre desquelles par exemple l'indication du " cours d'eau " sur une carte IGN ou la mention de sa dénomination sur le cadastre. "
" En ce qui concerne le critère lié à l'affectation du cours d'eau à l'écoulement normal de l'eau et à son débit, il faut tenir compte du débit naturel du cours d'eau, et non du débit influencé par les aménagements. Ainsi, le fait que le débit d'un cours soit réduit du fait de l'importance de prélèvements d'eaux superficielles ou souterraines, ou à la suite d'aménagements du bassin, ne saurait avoir pour effet d'en modifier le statut juridique et de le soustraire à l'application de la police de l'eau. "
(extraits de la circulaire du Ministère de l'Ecologie en date du 02/03/2005) : " la qualification de cours d'eau donnée par la jurisprudence repose essentiellement sur les deux critères suivants :
- la présence et la permanence d'un lit naturel à l'origine, distinguant ainsi un cours d'eau d'un canal ou d'un fossé creusé par la main de l'homme mais incluant dans la définition un cours d'eau naturel à l'origine mais rendu artificiel par la suite, sous réserve d'en apporter la preuve - ce qui n'est pas forcément aisé ;
- la permanence d'un débit suffisant une majeure partie de l'année apprécié au cas par cas par le juge en fonction des données climatiques et hydrologiques locales et à partir de présomptions au nombre desquelles par exemple l'indication du " cours d'eau " sur une carte IGN ou la mention de sa dénomination sur le cadastre. "
" En ce qui concerne le critère lié à l'affectation du cours d'eau à l'écoulement normal de l'eau et à son débit, il faut tenir compte du débit naturel du cours d'eau, et non du débit influencé par les aménagements. Ainsi, le fait que le débit d'un cours soit réduit du fait de l'importance de prélèvements d'eaux superficielles ou souterraines, ou à la suite d'aménagements du bassin, ne saurait avoir pour effet d'en modifier le statut juridique et de le soustraire à l'application de la police de l'eau. "